patrick bruel et la presse

voici un lien sympa de patrick : http://www.purepeople.com/article/patrick-bruel-accompagne-de-sa-belle-celine-il-decerne-un-prix-tres-policier_a91586/1

A 52 ans, le chanteur et acteur a éprouvé le besoin de se raconter. De son enfance en Algérie à la folie de la Bruelmania, en passant par son désir de reconnaissance.

Thierry Dague | Publié le 24.11.2011, 07h00
Patrick Bruel considère ce recueil d'entretiens comme un moyen de faire un bilan de sa vie et « d'envisager la suite avec plus de recul ». |
Des bios de Patrick Bruel, il en pleut chaque année. Mais le chanteur-acteur ne s'était jamais lui-même raconté dans un livre. 'éternel gamin de 52 ans, qui vient de tourner « le Prénom » (le film tiré de la pièce dans laquelle il a triomphé la saison dernière) et qui planche sur son prochain album, a mené une « conversation » avec le journaliste Claude Askolovitch.

Un dialogue où Bruel revient sur son parcours, sa famille, ses chansons, ses amis, ses convictions...

C'est le cap de la cinquantaine qui vous a poussé à faire ce livre?

PATRICK BRUEL. Pas du tout. Ça traîne depuis longtemps, mais je ne voulais pas d'une autobiographie traditionnelle. Envie de se raconter, oui. Envie de s'en servir comme une mise au clair de ses choix, de ses interrogations, de ses contradictions, pourquoi pas. Ce livre a été salutaire, il me permet d'envisager la suite avec plus de recul.

Il y avait des sujets interdits?
Non. On pouvait parler de tout, mais sans être sûr que ça reste à l'arrivée. Il y a des choses que j'ai rajoutées, développées, et d'autres que j'ai enlevées, qui risquaient de vampiriser le livre. Des trucs trop personnels.

Vous parlez très peu de vos compagnes...
Ça fait partie des choses qu'on a retirées, parce que je me suis rendu compte que ça n'engageait pas que moi.

Adolescent, vous aviez « besoin d'attention, que ce soit centré sur [vous] ». Est-ce toujours le cas?
Quand j'étais plus jeune, j'avais besoin de ça, de compenser une absence, un manque. Après, la vie m'a beaucoup gâté. Si je n'avais pas connu le succès, j'aurais pu courir après toute ma vie en pensant que c'était essentiel. Mais, l'essentiel, ce sont mes enfants.

Vous confiez avoir très mal pris d'être ignoré des Molières et des Césars. Vous vous sentez mal aimé du métier?
Quand « Un secret » a onze nominations aux Césars, sauf la mienne, je me dis que c'est injuste. Et, deux ans plus tard, ça recommence avec « le Prénom ». Sur le moment, c'est violent. Ensuite, ça passe. Je sais que ce qui compte, c'est le public. N'empêche... Ça ne touche pas seulement l'ego, mais un truc qui remonte à l'enfance, qui relève de l'exclusion.

Pendant la Bruelmania, vous avez appelé des journaux en disant : « Vous allez me tuer »...
Il y avait un tel décalage entre ce que j'étais et ce qui était perçu que j'allais droit dans le mur. J'ai décidé de faire une pause, je suis parti tourner « le Jaguar » en Amazonie. C'était bien de se poser. J'ai ressenti une grande sérénité, ce qui n'est pas mon fort!

Le livre suit la gestation difficile de votre prochain album. Vous en êtes où?
J'ai sept chansons finies, il me manque cinq textes. J'entre en studio en janvier. « Le Prénom » sort le 25 avril, donc l'album ne sortira pas avant. Il y aura sans doute un single avant l'été, et l'album en septembre. S'il n'est pas fini, c'est parce qu'il fallait que le livre soit terminé avant.

En parlant de vos chansons, vous dites : « Je n'ai pas le sentiment qu'il restera quelque chose. » Vraiment?
Il faut avoir de l'humilité. J'ai grandi avec Bach, Mozart, Liszt... Même dans la chanson française, c'est difficile de se situer quand tu écoutes Brassens. Peut-être que je ferai un jour une chanson du niveau d'« Avec le temps » qui restera.

DSK était votre candidat idéal...
Il incarnait les valeurs dont une gauche moderne a besoin.

Vous allez soutenir François Hollande?
C'est prématuré. Il doit commencer réellement sa campagne, pour qu'on ait un vrai débat républicain, et deux républicains au second tour. Ce que je souhaite aujourd'hui, c'est que Nicolas Sarkozy et François Hollande soient au second tour de la présidentielle. C'est ça, ma priorité.

L'humour était au rendez-vous ce matin sur la radio française Europe1. L'invité du jour de Nikos Aliagas à 8h35 était Patrick Bruel qui a suivi dans le studio et micro allumé la "revue de presque" de l'imitateur Nicolas Canteloup. Le chanteur était mis à l'honneur dans ce journal revu et corrigé mais celui-ci n'a pas réellement apprécié la voix créée par Nicolas Canteloup.

"Est-ce que j'ai franchement cette voix ? Comme toutes les autres me paraissent parfaites, la mienne doit l'être ! » a ironisé le chanteur avait de lui-même s'imiter à la manière de Canteloup ! "Tu t'attroches Patrick" lui a alors répondu le faux Bruel
"Nicolas, il faut que tu bosses un tout petit peu, je suis plus grave que ça, tente la gravité" a alors répondu le chanteur au milieu des rires de toutes les personnes présentes en studio. une jolie interview. :-)

Sympa l'article, merci Cigale flower

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une suite du film de prof
Véritable carton cinématographique en 1985, le film P.R.O.F.S aura bientôt une suite. Patrick Bruel vient de le révéler.

C'est dans les pages du magazine "L'Express" que Patrick Bruel a évoqué un second volet du film sorti il y a 26 ans. P.R.O.F.S raconte l'histoire d'un professeur séduisant qui tente de réformer le lycée où il travaille.

A l'époque, Patrick Bruel partageait l'affiche avec Fabrice Luchini. Sera-t-il présent dans cette nouvelle intrigue? Affaire à suivre.

Ah enfin patrick dans un film!Youpi!
Moi ce matin je suis allée à la librairie acheter son bouquin!

mes on le verra dans le prénom aussi en 2012

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C'est dans un salon, au calme, que Patrick Bruel donne ses interviews.
Seulement voilà : des salons, dans ce grand hôtel bruxellois, il y en a quelques-uns.
Par chance, on croise une employée qui fait visiter les lieux à un groupe de dames
. Et quand on lui demande si elle sait où on peut trouver Patrick Bruel, on assiste à une scène irrésistible : les cinq femmes en question se regardent, incrédules, prêtes à ouvrir séance tenante toutes les portes. Un petit moment surréaliste que l'on raconte à l'intéressé, hilare. “Elles ont dû vous prendre pour une folle, non ? ”, se marre-t-il.

D'excellente humeur malgré un petit contretemps matinal – il est resté coincé dans un ascenseur pendant vingt minutes avec ses enfants ! –, Bruel est heureux de parler de ce livre qui a, pourtant, bien failli ne jamais voir le jour.
Explications.
“J'avais dit oui à Plon pour une biographie, mais la première tentative, qui était partie pour être classique, n'était pas concluante. Au point que je leur avais rendu leur à-valoir. Je n'en voyais pas l'utilité, la légitimité. Et puis j'ai croisé Claude Askolovitch, par hasard. Quelque chose s'est passé, en trois minutes... J'ai proposé à l'éditeur de reprendre cette biographie, mais sous forme d'entretiens. Je ne le connaissais pas du tout.”

Ça vous arrive souvent, de sentir les gens dès le premier contact ?
“Ça m'est arrivé avec ma femme. Au bout de quatre minutes, je lui ai dit qu'on aurait deux enfants...”

Vous le racontez dans le livre !
“Ah, on l'a gardé, ça ? Je n'ai pas relu le livre ! (rires) Oui, j'ai une approche très instinctive des choses et des gens...”

Le deal, entre vous, c'était d'aborder tous les sujets ?
“Oui, je lui ai dit que je voulais aller partout. Et on l'a fait. Je tenais simplement, après, à vérifier qu'il n'y ait rien que je ne cautionne pas. On a travaillé dans une grande liberté, mais avec cette sensation, permanente, de ne pas avoir parlé d'assez de choses.”

Encore maintenant ?
“Oui, bien sûr. Certainement. On ne peut pas raconter sa vie à travers une conversation. On peut traiter d'un sujet...”

Le sujet, c'est vous, en l'occurrence !
“Oui, mais en même temps, on raconte une vie... Et tout ne peut pas y être. Par exemple, je me rends compte qu'on n'a pas parlé des femmes. C'est normal, il venait de perdre la sienne.”

Pourquoi pensiez-vous que ce livre n'était pas légitime ? On dirait que vous vous demandez en permanence ce que vous avez fait pour mériter tout ça...
“Il y a un peu de ça, c'est vrai. Et, au contraire, quand je pense que j'ai mérité un truc et qu'on ne me le donne pas, ça me rend fou. Je suis un peu les deux. Franchement, je me suis dit : Qui ça va intéresser ? Les super-fans ? Mais ils savent tout, déjà, de moi... Ce qui me sidère, c'est qu'on est premier des ventes, en France ! Si on découvre ce que je suis, ce que je crois être, ça aura servi à ça : faire à nouveau connaissance. Comme la chanson de Diane Tell.”

On a tous une idée de vous, positive ou négative. Vous avez l'impression d'avoir rectifié certaines choses, avec ce livre ?
“Ce n'est pas pour ça que je l'ai fait. Je n'avais pas cette impression en le faisant, en le lisant, en le sortant... Mais j'ai cette impression maintenant que les gens réagissent.”

Vous évoquez, de manière assez amusante, vos déboires chez le psy. Ce livre a été une manière de thérapie, pour vous, au final ?
“Ouais. Ce que j'ai pu raconter chez le psy, c'était entre lui et moi. Là, il y a des milliers de gens qui le lisent. C'est pour ça que j'ai enlevé certaines choses : pour ne pas blesser.”

Patrick Bruel, Conversation avec Claude Askolovitch , Plon

http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=4235

thé ou café

http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=4235

thé café

Merci Cigale pour ces infos.
Enfin l'album, vivement la rentrée des classes qu'on puisse écouter quelque chose de neuf
Valou, as-tu fini le bouquin ? Qu'en penses-tu ?
Par contre bizarre que pour une biographie il ne parle pas des femmes qui ont jalonné sa vie, je comprends que c'est par respect vis à vis d'elles, mais on ne raconte pas une vie si on ne fait pas référence à ses amours, ce sont eux qui nous forgent et nous font avancer.

moi ma mélre à eue pour noel le libre conversation faut que moi je me l'achete.

peu etre que son ex voulais pas faire partie du livre mumu?

à lire c'est la que l'on vois que le foot c'est que l'argent lol!

http://www.purepeople.com/article/patrick-bruel-le-fan-du-psg-evince-du-parc-des-princes_a93852/1?utm_source=pcp_pp&utm_medium=nl&utm_campaign=pcp_pp_nl

Cigale tiens nous au courant pour le bouquin, tu nous raconteras et donneras tes impressions.
Pour ce qui est de ses compagnes, je comprends que quand tu fais une bio des ex ne doivent pas toutes vouloir voir leurs faits et gestes couchés sur du papier, mais bon ça fait partie de la vie de l'artiste. Peut être aurait il du attendre pour faire sa bio ?

http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/pourquoi_patrick_bruel_a_refuse_the_voice_258405#xtor=EPR-586

the voice et patrick

Perso je ne regarde jamais ce genre d'émission et je ne crois pas que j'aurais regardé même si Bruel était dans le jury

ah si moi j'aime bien car justement il y as de joli voix mes chacun à c'est propre gout mumu

Oui c'est Clair Cigale chacun ses goûts, ce que je veux dire c'est que même si j'apprécie Bruel, s'il avait jury, ce n'est pas pour ça que j'aurais regardé cette émission. En tout cas, cette émission casse la baraque, j'ai entendu hier qu'elle lamine tous les programmes des autres chaines chaque samedi

mumu pareil si une émission me plais pas je vais pas regardais que pour patrick

patrick déclare qu'il as pas honte de gagner beaucoup d'argent

http://www.purepeople.com/article/patrick-bruel-ce-n-est-pas-honteux-de-faire-fortune_a98644/1

Heureusement que ce n'est pas honteux, tant qu'on joue le jeu et qu'on paie les 50 % d'impôts en France ! Sur l'interview par contre je pense qu'il s'égare au sujet de DSK, on ne l'a pas pris pour cible pour son argent mais bien pour autre chose !!! Est-ce que je fais erreur ? lol!

je suis d'accord avec toi et puis je pense qu'il veux bien donner 50% MES PAS 75% la il es pas d'accord avec hollande

Star de la chanson, du poker, du cinéma ou du théâtre, businessman à succès, Patrick Bruel est surtout un joueur. Avec Le Prénom - en salle le 25 avril -, le comédien rafle la mise. Énorme succès au théâtre pendant deux saisons, la pièce est devenue un film qui devrait marquer un tournant dans la carrière de Patrick Bruel. En avant-première, le comédien s'est confié sur son rôle, sa vie et ses engagements. Entretien vérité.

Patrick Bruel, Le Prénom a été un vrai carton au Théâtre Édouard VII pendant près de deux ans. Vous vous y attendiez ?
Quand j'ai lu la pièce pour la première fois, j'ai tout de suite su qu'elle plairait aux spectateurs. Mais, ce qui m'a le plus surpris, c'est l'unanimité qu'elle a suscitée. Jamais dans ma vie je n'avais travaillé sur un projet de pièce ou de film qui avait fait à ce point l'unanimité. C'est rarissime dans la vie d'un artiste.

Pourquoi avoir enchaîné aussi vite sur le film ?
Parce que Le Prénom a tous les ingrédients pour faire un bon film. La situation entre les personnages est tellement forte, dans la lignée des grands classiques de la comédie avec ce petit côté « Claude Sautet » dans la façon de traiter les relations humaines. Tout y est poussé à l'extrême et sert de révélateur aux non-dits et aux secrets de famille. Et puis, en deux saisons, 200 000 spectateurs sont venus voir la pièce. C'est énorme, mais on voulait toucher beaucoup plus de monde avec le cinéma... En tout cas, je l'espère. (Sourire.)

Qu'attendez-vous du Prénom à titre personnel ?
Faire rire ! Je fais beaucoup rire mes amis et mon entourage, mais, faire rire des spectateurs, c'est encore nouveau pour moi. L'image que le grand public a de moi n'est pas celle-là. J'ai joué dans des comédies, comme P.R.O.F.S ou Le Jaguar, mais c'est déjà loin... Et je me suis repiqué au jeu en jouant les guests dans Fais pas ci, fais pas ça, l'année dernière.

Le rôle de Vincent, c'est du pain bénit ?
Il est dans le top 3 de mes rôles préférés. C'est un véritable cadeau et je suis très heureux de ne pas l'avoir laissé passer.

Dans le film, votre personnage a de l'argent, du pouvoir, de la séduction et de l'arrogance. Un peu comme Patrick Bruel ?
Vous trouvez ? (Rires.) On a tous des étiquettes qui nous collent à la peau. Vincent est un type qui repousse loin les limites et, même s'il semble insupportable, il parvient à tout faire passer grâce à son charme, sa dérision et une certaine candeur. Derrière le sale gosse, il y a un mec qui a bon fond. Cela dit, je ne fonctionne pas comme lui. Je n'ai pas son arrogance et, si je véhicule des clichés, ce ne sont pas les mêmes que les siens.

Acteur, chanteur, producteur, joueur de poker... C'est facile à assumer toutes ses étiquettes ?
J'essaie de faire les choses bien pour ne pas décevoir. Dans tout projet, il faut que le choix de départ me touche et, dans ce cas, j'y vais à 100 % ! Moi, c'est le public qui m'a toujours porté. Et, quand on se sent soutenu de la sorte, c'est plus simple ensuite de s'investir à fond.

Et, s'investir en politique, c'est toujours important pour vous ?
Je me considère comme un membre de la société civile à part entière et je me suis toujours engagé quand il le fallait.

La campagne vous intéresse ?
Bien sûr ! Mais je ne la trouve pas de bon niveau et surtout pas à la hauteur des enjeux. Je souhaite qu'on ait un débat républicain au second tour entre Nicolas Sarkozy et François Hollande et que le débat soit alors plus élevé.

Vous aviez confessé avoir voté pour Nicolas Sarkozy en 2007. Allez-vous lui apporter votre soutien ?
En 2007, j'avais dit avoir voté Sarkozy après l'élection, mais je n'ai aucune consigne à donner et je ne suis le porte-drapeau d'aucun candidat ! D'ailleurs, les Français n'ont pas besoin de moi pour savoir pour qui voter. La seule fois où je m'étais engagé, c'était en 2002, car il fallait barrer la route au candidat du Front national au second tour.

Vous regrettez que Dominique Strauss-Kahn n'ait pas pu se présenter ?
Oui, car c'est quelqu'un qui avait la carrure et les compétences pour cela. Et, quel que soit le bord politique où l'on se situe, je crois que c'était de très loin l'homme de la situation. Son regard sur le paysage mondial aurait été bien utile. Malheureusement, les événements en ont décidé autrement...

On vous sait proche d'Anne Sinclair. Comment l'avez-vous trouvée dans cette épreuve ?
C'est une femme très impressionnante. Sa façon de gérer cette affaire est assez extraordinaire. Je sais depuis longtemps qu'elle possède du courage et de la ténacité. Autant de qualités qui sont apparues au grand jour depuis presque un an.

Vous qui avez connu l'étalage de votre vie privée dans les journaux, comment réagissez-vous face à cela ?
Je suis intransigeant en ce qui concerne la vie privée ! Surtout avec mes enfants, que je veux protéger. Quand je me rends dans une manifestation médiatique avec ma compagne, je sais qu'il y aura des photos officielles et je n'ai pas de problème avec ça. Par contre, je reste féroce sur le vol d'images de ma vie privée.

Propos recueillis par Nicolas Vollaire pour tv mag

À savoir
Énorme succès de théâtre, Le Prénom réussit magistralement son adaptation au cinéma. Emmené par des acteurs aussi inspirés que déchaînés - étonnant Bruel, formidable Berling, épatante Benguigui -, le film tutoie les sommets de la comédie en huis clos. Les auteurs-réalisateurs, Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, parviennent à embarquer le spectateur à un rythme époustouflant, tour à tour entrecoupé de crescendos et de silences au milieu d'un ballet de dialogues réglés au millimètre. On pense au grand Veber du Dîner de cons, on entrevoit le Cuisines et dépendances, de Bacri-Jaoui, et Le père Noël..., du Splendid, mais ce Prénom parvient d'abord et surtout à se faire un nom.

j'ai trouvais cette video sur le net je la trouve sympa:

https://www.youtube.com/watch?v=BLSfSYvyASc

http://www.purepeople.com/article/roland-garros-bruel-cornillac-le-marchand-ils-ont-tous-vibre-pour-tsonga_a101695/1?utm_source=pcp_pp&utm_medium=nl&utm_campaign=pcp_pp_nl

patrick à roland garros

http://www.purepeople.com/article/cabourg-vanessa-paradis-radieuse-patrick-bruel-et-alice-taglioni-complices_a102263/1/m2#scrolldown

pour le festival du film romantique

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